Cela fait plusieurs années déjà qu’Enora Malagré est devenue une personnalité connue en France. Après avoir été chroniqueuse dans TPMP, elle a enchaîné de nombreux projets. Elle se bat très souvent pour une cause qui lui tient à cœur : l’endométriose.
Enora Malagré (TPMP) a vécu des moments difficiles
Il y a quelques années, Enora malagré était une chroniqueuse emblématique dans TPMP. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle a toujours montré l’image d’une femme très forte. Mais au fond, elle faisait face à ses propres soucis.
En effet, Enora Malagré doit se battre contre l’endométriose depuis un moment déjà. Mais ce n’est pas la seule chose difficile à laquelle elle a dû faire face. Auprès de VL Média, elle avait évoqué sa santé mentale.
La belle avait avoué à nos confrères il y a plusieurs années : « J’ai vu un psy, j’étais très très malheureuse quand je suis partie. Je n’étais pas bien psychologiquement et puis je suis partie car j’allais très mal ».
Enora Malagré avait également expliqué sur TPMP : « L’émission me rendait malheureuse, j’étais en train de faire un burn-out et le psy m’a dit ‘pendant six mois vous ne faites rien, vous vous reconstruisez’ parce que j’étais en dépression ».
Une période très difficile à vivre pour la principale intéressée. Après avoir connu la lumière, elle a fait face à des moments très sombres. Elle avait notamment évoqué ses techniques afin de prendre soin de sa santé mentale.
Enora Malagré avait révélé : « Tu arrêtes de boire, tu prends plus de substances illicites. Je prenais beaucoup de médicaments à cause de ma maladie (l’endométriose, ndlr), tu te refais une santé ».
« Tu dors, tu vas tous les jours au musée. Je sortais, j’allais voir des pièces de théâtre. Tu reprends le métro, tu te remets dans la vraie vie, j’étais déconnectée », avait avoué l’ex-chroniqueuse de TPMP.
« Les démons sont à ma porte »
Dans une interview accordée à Christophe Hondelatte dans son émission sur Europe 1, en 2021, elle avait également évoqué cette addiction aux substances illicites. Pour faire face à ses soucis, elle a sombré dans des « shots de Rhum ».
Elle avait expliqué : « Les démons sont à ma porte, je recommence à sombrer ». En revanche, elle savait qu’elle n’allait pas bien. Et c’est pour cette raison qu’elle a demandé de l’aide.
L’ancienne chroniqueuse de TPMP a indiqué : « Augmenter la fréquence de mes séances chez le psy, faire plus d’exercices de respiration. (…) Il faut que j’arrive à faire la part des choses entre mon endométriose et mes pulsions d’autodestruction ».
Un combat sur tous les terrains pour la jeune femme. Elle avait d’ailleurs assuré lors de cette interview : « La boisson est désormais bannie de mon appartement et de mes soirées. J’ai décidé de ne plus faillir, je ne peux plus ».
Avant de conclure : « Cette fuite large n’est pas celle d’une femme libre. Je pense à ma mère qui, malgré ses années sanglantes, n’a pas sombré dans la dépendance pour autant ». Une nouvelle preuve de courage donc.
Malgré toutes les épreuves difficiles qu’elle peut rencontrer, l’ex-chroniqueuse de TPMP fait son possible pour aller de l’avant et rester positive.
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